Il ne cherchait pas à changer de solution. Il n’en avait même pas encore. Ce qu’il voulait, c’était le bon outil, dès le départ. Mais entre le budget, les promesses sur le papier et la réalité du terrain… Son parcours ne s’est pas déroulé comme prévu.
Voici son histoire. (avec la voix de Bernard De La Villardière)
Il cherchait un intégrateur. Il a choisi quelqu’un d’autre.
Quand je l’ai eu au téléphone la première fois, il lançait un vrai chantier : plusieurs marketplaces, des ventes en croissance, et surtout le besoin de structurer son activité pour arrêter de tout faire à la main.
Il n’avait pas encore de gestionnaire de flux. Il comparait. On a parlé de ses objectifs, de son ERP, de ses contraintes techniques. On a fait une démo, ça matchait. Il voyait ce qu’on pouvait lui apporter.
Mais au moment de choisir, il a pris une autre route.
Pas parce qu’on ne répondait pas à ses besoins. Mais parce qu’une autre solution affichait un prix plus bas. Et quand on démarre, on pense souvent que “ça suffira”.
Difficile pour moi à ce moment de cacher ma frustration, je ne trouve pas les bons mots pour lui dire qu’il s’apprête à faire une erreur. Je n’insiste pas et je lui propose de rester en contact.
Le temps passe et je décide de le rappeler deux mois après.

Première appel : ”les stocks mettent du temps à se synchroniser”
Il me dit que ça avance, mais qu’ils ont eu un couac : des ruptures non visibles, des commandes passées alors que le stock était à zéro. Mauvaise synchronisation. Premier coup dur.
On en reparle. Je sens qu’il commence à douter.
Deuxième appel : “les prix ne se mettent pas à jour correctement”
Un trimestre plus tard, je relance. Cette fois, il me parle de ses règles de prix. Elles sont trop rigides, mal adaptées à ses catégories de produits. Résultat : des offres peu compétitives, ou des marges écrasées. Et pour changer quoi que ce soit, c’est galère. Support lent. Peu d’écoute.
Il me glisse un « On commence à se demander si on a fait le bon choix ».
Le déclic : une hausse de prix inattendue
Puis un jour, c’est lui qui me rappelle.
Son prestataire venait d’annoncer une hausse tarifaire. Sans prévenir, sans justification.
Là, tout s’est enclenché.
Il m’a dit : « On a voulu faire une économie. En fait, on a surtout perdu du temps. Et de l’argent. »
Deux conversations ont suffi pour refaire le tour de la question avec lui et trois semaines plus tard il était en ligne.
La phrase qu’il m’a dite et que je n’oublierai pas :
« Ce que je paye chez Sellermania, c’est la tranquillité. »
Ce qu’on retient
« On sait combien coûte un expert, mais on ne sait pas combien coûte une erreur. »